jeudi 11 janvier 2007

Il y a dix-sept ans, jour pour jour...

Dans nos bras qui s'unissent
Naît le vent doux qui calme la douleur
Qui détruit la faiblesse et la mort

Jean Zimmermann, 1926 (Feuillages de pierre)

2 commentaires:

Anonyme a dit…

AFTER SO MANY FIGHTS …
… USELESS
COULD I FIND
ANY PLACE TO FEEL
ANY PLACE TO LOVE
ANY PLACE OF PEACE AND QUIET
ANY PLACE TO LAY WEAPONS DOWN

ANY PLACE TO BE

Cam a dit…

Dans nos bras écartés
S'est construite notre vie
Signe d'accueil pour toi
Souvent crusifixion pour moi

Dans nos mains retrouvées,
Nos signes réconcilient avec le passé,
Nous enchantent pour demain,
Bravent la mort et nos faiblesses.


Merci de m'avoir ramenée sur notre banc...